Comment réussir à vendre votre bien au meilleur prix ?

Posted on: 18 Apr, 2020 10:07 PM

Comment réussir à vendre votre bien au meilleur prix ?

Réussir à vendre son bien immobilier est un défi à ne surtout pas prendre à la légère car c’est une tâche loin d’être évidente. Plusieurs propriétaires sont par ailleurs confrontés à un délai de vente précis dans le cas où ils souhaitent racheter un autre bien en vue d’un déménagement. Toutefois, il est important de ne pas se presser pour être sûr de recevoir une offre au prix du marché. Il est en l’occurrence recommandé de s’y prendre bien à l’avance et de préparer la vente comme il se doit. Cet article vous livre toutes les informations importantes à retenir pour que la vente de votre bien soit à la hauteur de vos attentes.

 

Faites estimer votre bien par des experts

La première étape d’une mise en vente consiste à évaluer votre bien. Pour ce faire, plusieurs prestataires proposent leurs services afin de vous donner une idée des prix qui se pratiquent sur le marché. En procédant ainsi, vous serez en mesure d’obtenir une fourchette quant à la valeur de votre bien. En revanche, il est fortement conseillé de demander plusieurs estimations afin de réaliser un comparatif et fiabiliser les résultats obtenus. Pour commencer, faites une estimation immobilière de votre maison ou appartement gratuitement ici. Par la suite, vous avez également la possibilité de vous adresser à un agent immobilier pour lui demander de se déplacer et faire une expertise sur votre bien. Au-delà de connaître la valeur de votre maison ou de votre appartement, demander une estimation vous permet de mesurer le professionnalisme des différents prestataires qui vous proposent leurs services.

Une fois votre bien estimé, la prochaine étape consiste à fixer le prix auquel vous souhaitez l’afficher. A ce stade, il est conseillé de débuter avec le prix fort en se donnant une marge de négociation. Il est également primordial de préciser un prix planché au professionnel à qui vous souhaitez confier la vente de votre bien.

Comment bien choisir son vendeur ?

Agents immobiliers, notaires, portails de vente sur internet : voilà autant de prestataires que vous pouvez contacter pour mettre en vente votre bien. Certains parmi eux n’hésiteront pas non plus à vous solliciter pour vous convaincre de l’efficacité de leurs services. Pour bien choisir, privilégiez tout d’abord ceux qui ont estimé votre bien à un juste prix. Evitez ceux qui vous proposent des prix bradés uniquement pour être sûrs de vendre le plus rapidement possible. Il est également préférable de choisir un professionnel qui pratique des tarifs raisonnables. Une commission sur vente exorbitante vous contraindrait à afficher un prix au-dessus de celui du marché pour pouvoir toucher votre prix net vendeur. Certains prestataires proposent en l’occurrence un prix fixe pour l’ensemble de leurs services sans prendre un pourcentage sur le chiffre d’affaire réalisé au moment de la vente. Quant aux diagnostics à réaliser, les coûts qui s’y affèrent peuvent parfois être pris en charge par votre vendeur. Le cas échéant, n’oubliez pas de l’inclure dans votre budget pour ne pas vous induire en erreur.

 

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Les solutions déménagements à ne pas négliger

Vous avez trouvé une location appartement à Paris ou dans d’autres villes ? Vous souhaitez déménager et vivre dans un autre endroit ? Sachez qu’il existe plusieurs manières de déménager. Voici quelques exemples.   Déménager seul ou avec un professionnel ?   Déménager seul Ce type de déménagement est surtout destiné aux personnes possédant un petit budget. Toutefois, il reste complexe. Si vous envisagez de déménager seul, vous devrez faire face à de nombreuses contraintes : la distance, l’emballage d'une tonne d’objets, le transport, etc. Vous devez aussi vous occuper du démontage. Pour être le plus efficace possible, vous devez démonter les objets un par un. Commencez par les plus lourds, et mettez-les directement dans un carton. Ainsi, la salle ne sera pas encombrée. Protégez également vos matériels avec du papier bulle, des sangles ou des angles de protection, car certains objets fragiles peuvent s’abîmer en cours de route. Demandez enfin de l’aide à votre voisin ou vos proches. Il vaut mieux travailler ensemble que de travailler seul.   Déménager avec un professionnel Ce type de déménagement est le plus conseillé. En effet, les déménageurs sont des experts en la matière. De plus, ils disposent de tous les matériaux et compétences nécessaires pour le démontage des meubles. Ainsi, votre déménagement sera plus rapide et plus efficace.   La facilité est aussi un autre avantage procuré par celui-ci. Avec ce type de prestation, vous n’avez plus besoin de vous occuper du déménagement. Les professionnels s’occupent de tout : du démontage, de l’emballage, du transport… Ils peuvent même vous aider à aménager votre nouvel appartement ou logement. (montage des meubles, déballage, etc.)   Cependant, le déménagement avec un professionnel est assez onéreux. Mais compte tenu de la qualité de services et des prestations, il reste tout de même abordable.   Quel type de transport ?   Il existe plusieurs moyens de transporter vos meubles et objets de valeur.   Le transport sur route Si vous déménagez dans une autre région ou ville, le transport sur route reste le plus fiable. Ce type de transport est économique, assuré et plus ou moins rapide. En général, le déménagement sur route se fait par l’intermédiaire d’un véhicule (camions, etc.). Toutefois, il est aussi possible d’utiliser le ferry, surtout si votre nouvelle habitation est assez éloignée.   Le transport aérien Quant au transport aérien, il est surtout destiné au déménagement international. Contrairement au transport sur route, les objets autorisés dans les avions sont limités, que ce soit en nombre ou en qualité. De plus, les frais sont coûteux et plusieurs mesures de sécurité sont à respecter. Pour assurer un meilleur déménagement, il est préférable de faire appel à des professionnels.   Le transport par bateau Le transport par bateau est aussi un excellent moyen de déménager à l’étranger. En effet, il offre un plus grand volume. Vous pouvez ainsi transporter tous vos meubles et objets sans contrainte. De plus, son tarif est plus ou moins intéressant. Son seul inconvénient est la durée. Il faut attendre des mois avant que les marchandises arrivent à destination.

Les pièges à éviter avant de louer un appartement

Si trouver un appartement à louer est une chose difficile en soi, trouver un logement dans la ville de Paris l’est encore plus. Non seulement le loyer dans cette capitale française est des plus élevés sur le marché immobilier, mais les offres sont en réalité bien en dessous des demandes. La location d’appartement à Paris requiert donc beaucoup plus de vigilances. Si vous avez tant trimé pour enfin trouver une offre de location qui convient à votre budget et qui correspond à vos critères de sélection, n’oubliez pas de revoir une à une les pièges dans lesquels vous pourriez tomber. En effet, le monde de l’immobilier représente un énorme marché, et du coup l’arnaque, l’abus et certaines pratiques douteuses font partie intégrante du milieu. Avant de conclure avec l’agence immobilière ou les propriétaires directs, que ce soit pour la location d’appartement, une colocation ou encore la location de studio, il faut essayer de déceler les pièges éventuels que cela pourrait cacher. Le mandat cash, un piège courant Si vous avez déniché un logement à Paris par le biais des petites annonces immobilières gratuites, cela sent à plein nez l’arnaque. Ce sont en fait de faux propriétaires. Le principe reste le même, il ne faut jamais débourser le moindre centime avant la conclusion définitive du contrat de location. La personne qui a diffusé l’annonce pourra prétendre ne pas habiter la région et par conséquent, sera obligée de se déplacer. Elle demandera alors un acompte de la part du prochain locataire avant même de rencontrer ce dernier. Il ne faut donc jamais envoyer de mandat cash pour réserver ou pour avoir un entretien avec les propriétaires. Cette pratique est avérée dans la mesure où le loyer annoncé est bien inférieur au cours habituel. De ce fait, il est plus facile pour les arnaqueurs de piéger les gens peu méfiants. Les agences immobilières Certaines de ces agences, mandatées par les propriétaires, profitent de leur notoriété pour soutirer plus d’argents aux locataires. En effet, la pratique de surfacturation illégale est parfois constatée lors de la prise des lieux. Les frais de dossiers sont parfois exagérés au détriment du locataire sans que les propriétaires en bénéficient. Les listes sont à éviter Dans le monde de l’immobilier, la pratique de la liste est en vogue. Attention, la plupart sont des pièges. Le locataire achète la fameuse liste moyennant une somme assez conséquente. Quand il s’en sert pour appeler les contacts qui y sont mentionnés, surprise ! Certains propriétaires qui figurent dans la liste ne sont même pas au courant que leur appartement est à louer. La majorité du temps, les appartements qui s'y trouvent sont tous déjà loués, car la liste date. Les numéros surtaxés C’est un autre procédé pour plumer celui qui est à la recherche d’une location. Le site propose des appartements, des studios, ou encore publie des offres de collocation. La transaction doit se faire par leur intermédiaire. Le site propose donc un numéro surtaxé pour faire la liaison entre le locataire potentiel et les propriétaires. Après avoir gonflé la facture de téléphone, le locataire se voit éconduit par les propriétaires : soit l’appartement est déjà loué, soit le prix annoncé n’était pas le même. Le locataire est perdant dans les deux cas.

Vous êtes étudiant ? Quelles sont les démarches administratives avant de louer ?

Être un étudiant dans une grande ville comme Paris est une aventure surtout si vous êtes un étranger. Il n’est pas facile de s’accommoder et de trouver en peu de temps une location appartement à Paris. De plus, entre les exigences du propriétaire, la caution à verser et le manque de budget, votre recherche s’avère être un marathon si vous n’avez pas les bonnes connaissances. Quelques informations utiles pour vous aider à faire le point. Un petit tour sur le contrat de bail Pour trouver rapidement un logement étudiant à Paris. Vous devez faire le tour des agences immobilières, des sites spécialisés ou encore d’activer vos réseaux sociaux. Sachez que les visites sont gratuites, faites-en le maximum pour avoir davantage de choix. En tant qu’étudiant, vous bénéficiez d’une aide au logement. Pour en bénéficier, vous devez avoir un contrat de bail signé par les deux parties. Vous devez avoir en votre possession, un exemplaire qui contient les obligations du bailleur envers vous. Pour la caution convenue, il faudrait un autre document dûment signé qui contient cette information. Sachez que si l’agence ou le propriétaire ne vous propose pas le contrat de bail pour un bien supérieur à 9 m². Vous devez laisser tomber, car il y a sûrement une arnaque derrière. Toutefois, pour un étudiant, il est rare d’avoir le budget requis pour louer seul un logement. Il est conseillé de se tourner vers les offres de colocation ou sous-location à Paris. Les locations adaptées pour un étudiant Pour un étudiant dans une ville comme Paris, il est recommandé d’utiliser les réseaux de colocations sur des sites comme bailti. Vous aurez le privilège de vous connecter avec d’autres étudiants qui recherchent aussi une location studio à Paris. Le site permet de créer votre propre réseau et de choisir vos colocataires par affinité. Vous avez aussi une réduction conséquente sur le loyer et la caution. En divisant les charges, vous êtes sûr de trouver un bien à votre goût et adapté à votre budget. De plus, vous avez aussi la possibilité de contacter directement les propriétaires sur le site. Avec un bail étudiant qui concerne une location studio meublée, vous ferez une épargne supplémentaire. C’est la meilleure alternative pour vous et vos autres amis étudiants. Un contrat de 9 mois qui vous permet de rentrer chez vos parents pour les vacances. Toutefois, vous pouvez aussi opter pour une sous-location à Paris. Les documents requis pour le contrat Avant votre première visite, vous devez réunir les pièces de votre dossier de location. Pour cela, il vous faudra vos pièces d’identité officielles, votre RIB, mais aussi celles de vos garants. Sachez qu’en tant qu’étudiant, vous n’avez pas besoin de présenter vos relevés de compte bancaire, votre dossier médical ou encore votre extrait de casier judiciaire. Une fois votre dossier en main, enchainez les visites de votre location appartement sur Paris. Effectuez-les avec vos futurs colocataires et décidez ensemble du logement qui vous convient le plus. N’attendez pas longtemps de signer le bail si vous avez un coup de cœur sur un bien. Dans une grande ville, les logements ne restent pas longtemps sur le marché.

Les avantages de la colocation meublée

La colocation meublée est intéressante pour des logements à Paris. Elle s’adapte à tous les colocataires qui séjournent pendant une courte durée dans une grande ville. De plus, la colocation meublée est protégée par la loi et dispose d’une forme de contrat simplifiée. Il s’agit du bail de mobilité, un contrat allant de 1 à 10 mois. Toutefois, c’est le bailleur qui a la main mise sur son bien meublé.   Une solution plus économique La colocation en soi est déjà une forme de location économique. Elle intéresse le plus souvent des étudiants, des stagiaires ou encore de nouveaux salariés. Avec les meubles déjà fournis par le propriétaire, les futurs locataires n’auront plus besoin d’investir dans le mobilier. Ils ont déjà à disposition dans leur appartement à Paris tous les nécessaires de la vie quotidienne. Pour protéger le bailleur, le bail mobilité est un contrat adapté à ce genre de location. Il ne sera pas renouvelable et les locataires devront signer un nouveau bail s’ils veulent encore rester.   La colocation : le partage des charges En choisissant la colocation à Paris, vous épargnez les charges et le loyer. Plus les colocataires sont nombreuses, plus les charges seront divisées et reviendront moins chères. Un grand avantage pour les petits budgets et qui permet aux étudiants d’économiser. Pour vos recherches de colocation à Paris, la visite d’un site spécialisé comme Bailti est recommandée. Il s’agit d’une plateforme où vous pourriez trouver et choisir vos futurs colocataires. De plus, de nombreux biens sont proposés par des propriétaires directs, location studio ou encore location appartement à Paris. Vous pouvez organiser des visites de groupe pour trouver une sous-location à Paris qui vous convient le mieux. L’occasion d’une première rencontre entre vous et vos colocataires.   Une location plus rentable pour le bailleur Le bailleur trouve aussi son compte dans une colocation meublée. Le loyer est plus intéressant par rapport à une location de bien vide. Il peut, en effet, en contractant une colocation meublée augmenter de 15 % la rentabilité locative. Les propriétaires gagnent davantage de garanties locatives et ils sont plus sereins pour leur logement à Paris. Ils peuvent opter pour un contrat unique ou plusieurs contrats pour ses locataires. Et si un ou plusieurs des colocataires souhaitaient partir, ils auraient juste besoin d’informer le bailleur. Avec ce genre de contrat, la relation entre propriétaire et locataires doit être au beau fixe. Il s’agit surtout d’accord à l’amiable, de clauses qui sont signées d’un commun accord. C’est pour cela que pour la plupart des biens mis en colocation, le bailleur habite dans la même propriété.   Une forme de location très tendance La colocation meublée séduit les jeunes étudiants qui recherchent un appartement à Paris. Ils sont dans la grande ville pendant une période bien définie de l’année. En optant pour la colocation, ils vont diminuer leur part de loyer, mais aussi économiser sur l’achat des meubles. Ils déposent juste leur bagage et ils peuvent être fonctionnels dans l’heure qui suive l’emménagement. De nombreux jeunes salariés sont aussi attirés par de telles locations. Ces derniers ne gagnent pas suffisamment d’argent pour vivre seuls et veulent surtout économiser pour acheter leur propre appartement.

Colocation : Comment s'organise-t-on pour le partage des frais ?

Vous vivez en colocation à Paris ou dans une autre région de la France ? Vous souhaitez bien organiser la répartition des frais entre colocataires ? Voici quelques conseils pratiques qui peuvent vous aider.   Comment payer les loyers ?   Dans une colocation, la signature d’un bail avec le propriétaire est obligatoire. Celui-ci peut se faire, soit individuellement, soit de manière collective. Dans le premier cas, vous pouvez directement payer votre part du loyer auprès du propriétaire, après l’avoir fixé avec les autres occupants. Dans le second cas, vous avez deux options. Soit, vous payez votre part individuellement par chèque, par virement, ou par prélèvement automatique. Soit, vous optez pour le règlement collectif du loyer. Ce dernier est le plus favorable, tant pour le propriétaire que pour les colocataires. D’un côté, il facilite le contrôle par le propriétaire. D’un autre côté, il est très rapide et pratique.   Si vous choisissez le règlement collectif du loyer, trois modes de paiement sont mis à votre disposition : le roulement dans le paiement, le paiement par représentation ou le paiement par compte bancaire. Dans un paiement en roulement, chaque colocataire va payer la totalité du loyer, à tour de rôle. Quant au paiement par représentation, cela consiste à désigner un colocataire, représentant de tous les colocataires auprès du propriétaire. Autrement dit, il récupère toutes les quotes-parts de chaque occupant, et l’envoie auprès du propriétaire. Enfin, dans le dernier cas, les occupants vont créer un compte bancaire destiné pour la colocation. Chaque membre va verser sa part dans ce compte, puis le tout sera directement envoyé dans le compte du propriétaire.   Comment régler les autres frais ?   Le loyer n’est pas la seule charge à payer dans une colocation. Il y a aussi les charges locatives, les consommations courantes, les taxes d’habitation et l’assurance-habitation.   Les charges locatives   Les charges locatives sont des sommes payées au bailleur, en plus des loyers. Elles servent à rembourser les dépenses réglées par le bailleur, concernant le logement. En principe, les petites réparations doivent être effectuées par les colocataires. Les charges locatives sont donc l’équivalent de celles-ci. Pour le paiement, les colocataires peuvent choisir entre un régime classique des provisions pour charges ou un régime forfaitaire. Dans le premier cas, les charges locatives sont versées mensuellement, avec une régularisation annuelle. Dans le second cas, le montant sera fixé dans le bail, de manière proportionnée et raisonnable.   Les consommations courantes   Les consommations courantes comprennent l’électricité, l’internet, l’eau et le gaz. Dans le cas d’un bail individuel, ces dernières sont déjà incluses dans les charges locatives. Tandis que pour le bail collectif, la valeur est équivalente à la quote-part de chaque colocataire. Le paiement se fait de la même manière que les loyers : soit en roulement, soit par représentation, soit par compte bancaire.   Les taxes et assurance   Les taxes et assurance sont obligatoires pour tous les colocataires. Pour les taxes, les parts seront divisées par chaque occupant. Quant à l’assurance-habitation, le paiement dépend du type de bail.  

7 conseils d’organisation dans une colocation

Récemment, la colocation à Paris et dans d’autres régions est devenue tendance, surtout auprès des étudiants. En plus d’être pratique, elle est aussi économe. Toutefois, elle suppose l’existence de plusieurs colocataires. Il faut donc respecter certaines règles pour assurer une meilleure atmosphère. Alors, comment bien organiser la colocation ? 1- Partager en avance les différents charges et frais L'un des problèmes majeurs de la colocation est l’argent. Pour éviter les éventuels conflits, il faut établir la part de chacun à l'avance. Cela concerne non seulement les loyers, mais aussi les autres charges comme l’électricité, les frais sanitaires ou la consommation énergétique. En général, les coûts sont partagés équitablement. Toutefois, certains membres peuvent investir plus d’argents dans la colocation. De ce fait, ils doivent payer moins. 2- Diviser les tâches ménagères   Les tâches ménagères peuvent aussi créer des tensions entre colocataires. Alors, il faut les définir au préalable. Chaque colocataire doit participer aux tâches ménagères. Il ne faut pas y avoir de favoritisme, car le but est de bien vivre ensemble. Les tâches doivent se conformer à la disponibilité et la compétence de chaque colocataire. Certains ont, par exemple, des talents pour la cuisine, alors que d’autres sont plus enclins au nettoyage. 3- Respecter l’hygiène Dans une colocation, vous partagez la vie avec plusieurs personnes. Or, il s’agit généralement d’une location studio, pas très spacieuse. Pour l’aérer, il faut respecter une certaine règle d’hygiène. Vous devez toujours nettoyer les pièces et les chambres chaque jour. De même, effectuez un grand ménage ensemble, au moins une fois par mois. 4- Établir un couvre-feu   Certes, vous êtes tous majeurs dans une colocation. Vous pouvez donc sortir comme vous le souhaitez. Toutefois, vous vivez dans une communauté. Il serait désagréable de perturber le sommeil de quelqu’un, en le réveillant en pleine nuit.   5- Respecter le choix des autres   Vous souhaitez repeindre les murs ? Vous souhaitez refaire la salle de bain ? Ou tout simplement, inviter votre famille chez vous ? Demandez d’abord l’avis des autres colocataires. Comme vous partagez les frais et les charges, ils ont leurs mots à dire concernant les décisions. Cela ne signifie pas non plus que vous devez être dépendant d’eux. Il existe certaines décisions qui peuvent être prises seul. Le plus important est d’instaurer une certaine confiance entre tous les colocataires.   6- Respecter la vie des autres   Bien que vous viviez en communauté, cela ne signifie pas que vous devez tout partager. Il faut donc respecter la vie et les décisions de chaque membre. De plus, soyez tolérant envers les comportements des autres. Même si vous avez différents caractères, vous devez vous adapter. Évitez à tout prix les conflits.   7- Renforcer les liens   Le meilleur moyen pour bien organiser la colocation est de renforcer les liens. En étant soudée et solidaire, votre vie communautaire sera plus agréable. Pour y parvenir, organisez régulièrement des soirées entre colocataires. Faites également des sorties entre amis et essayez d’aider les autres membres, autant que possible.

Comment et où trouver un emploi dans l’immobilier ?

L’immobilier est un domaine qui recrute, puisqu’il est actuellement en plein essor. Mais il faut savoir que le secteur contient des branches différentes, à même de satisfaire divers profils de candidats : il y les métiers de la transaction immobilière, de la promotion immobilière et, enfin, de la gestion immobilière. On va vous expliquer, ici, comment faire pour trouver un boulot dans ces différentes familles de métier, notamment d’un point de vue des études, qui sont longues mais indispensables pour chacune de ces professions.   Les métiers de la transaction immobilière   Dans cette branche-ci, il y a trois fonctions qui dominent : le négociateur immobilier, l’agent immobilier et le notaire. Le négociateur immobilier cherche et trouve des biens à vendre, qui peuvent être des terrains, par exemple. Entre ensuite en scène l’agent immobilier, qui agira pour faire en sorte de vendre ces biens, et, en fin de parcours, le notaire, lui, va authentifier l’acte de vente du bien. Trois éléments d’une même chaîne. Mais ces trois éléments ne sont pas à un niveau équivalent : en effet, le négociateur peut être l’employé d’un agent immobilier. Il peut donc se faire embaucher par un agent, ou par une agence immobilière. L’agent immobilier, lui, doit posséder une carte professionnelle, qui se renouvelle tous les trois ans, et il doit également être recensé sur le registre du commerce. Les deux professions nécessitent, pour espérer une embauche, un bac +2. Enfin, il faut compter un bac +5 au CNEPN (Centre national  de l’enseignement professionnel notarial) pour les notaires. Dans tous les cas, vous pouvez également regarder les offres sur ce site.   A la loupe sur la promotion immobilière   Ici, un peu moins de branches diverses – deux au lieu de trois - mais pas moins de débouchés ni de possibilités de travail. Dans la gestion immobilière trône le promoteur immobilier. Son travail consiste à proposer des biens à vendre ou encore à organiser des appels d’offres pour des constructions. Proche des grandes entreprises du domaine, il doit être expert en finance et en immobilier, d’où le bac +5 qui est requis pour ce travail. L’aménageur lotisseur, lui, a besoin de faire des études d’une importance moindre : un bac +3, avec des connaissances étendues en économie et en juridique, est suffisant. Ce métier est à la base des lotissements qui émergent.   Quid de la gestion immobilière ?   Celui qui s’occupe spécifiquement de la gestion locative est l’administrateur des biens. De manière différente, mais complémentaire, le syndic de copropriété prend soin, lui, des finances, des parties communes et des équipements attenants d’un bien. Enfin, il manque à ce tableau le juriste, qui rédige les actes juridiques, et surveille les ventes et les acquisitions. Ce dernier, professionnel du droit, a besoin de plus de trois ans d’études dans le domaine.   Les qualités humaines du candidat idéal   Mais outre les études, qui lui ouvriront les portes d’un bon travail, que ce soit à son compte, ou plus certainement auprès d’une agence immobilière ou d’un agent unique, un bon candidat a besoin de qualités humaines spécifiques pour performer dans ces différents métiers, et espérer se faire engager. Dans ce domaine, le relationnel client est important, il y a donc besoin d’un certain sens du contact, d’être capable de négocier avec des tiers et de travailler en équipe. Vous devez également avoir le sens du dialogue, de la ténacité pour mener à bien tous vos dossiers, ainsi qu’un certain sens des responsabilités. Avec tout cela à l’esprit, vous nous semblez fin prêt pour accéder à des emplois dans le domaine de l’immobilier.

Logement sans caution : comment les trouver?

Logement sans caution : comment les trouver? Quand on recherche un logement Paris, les propriétaires réclament souvent un dossier bien ficelé et également de pouvoir présenter un garant. Ce dernier peut être une personne morale que physique. Et c’est elle qui s’engage à payer le loyer ainsi que les autres charges locatives si vos revenus ne permettent pas de le faire. Alors, est-il impossible de trouver une location appartement à Paris sans avoir une caution ? La réponse est non, et voici quelques solutions que nous vous proposons. La garantie Visale La garantie Visale (VISA pour le Logement et l’Emploi) est destinée à se substituer à la caution parentale pour les jeunes de moins de 30 ans et les salariés de plus de 30 ans qui ont été embauchés depuis 6 mois au maximum. Cependant, il faut que le logement appartienne au privé. Elle est financée par Action Logement qui prend le relais durant les 3 premières années du bail dans le cas où le locataire rencontrerait des difficultés de paiement. L’avance Loca-pass La location studio Paris peut également être réalisée sans disposer de caution grâce à l’avance Loca-pass. Il existe toutefois un certain nombre de conditions à remplir pour en bénéficier. En premier lieu, il faut que le logement soit la résidence principale du locataire et qu’il fasse l’objet d’une convention qui donne droit à l’aide personnalisée au logement (APL). Cette avance s’adresse aux jeunes de moins de 30 ans, aux salariés mutés, aux travailleurs saisonniers et aux salariés du secteur privé. Elle est valable pendant une durée maximale de 3 ans et conduit au paiement des loyers et des charges, moins les aides au logement, pour une période de 9 mois si le locataire faillit à ses obligations. Cette prise est en charge est limitée à 2 000 euros par mois. La caution locative étudiant (CLE) Vous pouvez également bénéficier d’une location studio sans disposer d’une caution grâce à la caution locative étudiant (CLE). Il s’agit d’une garantie de l’État en faveur des étudiants qui cherchent un logement et qui n’ont pas de garant. Mais le bénéficiaire doit verser une cotisation s’élevant à 1,5 % du loyer mensuel. Si l’étudiant n’arrive pas à s’acquitter de ses obligations locatives, le CROUS qui gère la CLE va verser le montant des loyers et des charges impayés au propriétaire. De l’autre côté, il dresse un échéancier des montants avancés pour le compte de l’étudiant avec celui-ci. S’il s’agit d’une colocation à Paris et que le contrat n’inclut pas de clause de solidarité, chaque colocataire est obligé de déposer une demande de caution locative étudiant (CLE). Dans le cas où l’étudiant bénéficiaire du CLE déménagerait, il doit être à jour aussi bien pour ses cotisations que pour le remboursement de ses loyers impayés s’il souhaite continuer de bénéficier du CLE. À noter que les jeunes isolés et les étudiants de famille étrangère ou monoparentale sont les prioritaires dans l’attribution de la CLE.   Il faut également savoir que Bailti permet de trouver des logements en colocation, notamment à destination des étudiants. Ceux qui cherchent à opter pour une location appartement Paris à petit prix peuvent également y trouver leur bonheur. Vous pouvez également y poster des annonces si vous souhaitez réaliser une sous-location Paris.

Les avantages de fractionner son appartement ou sa maison en plusieurs pièces avec chacune son bail

Il existe sur le net, des plateformes qui peuvent vous aider à trouver rapidement une colocation à Paris. Ce peut être pour des étudiants ou des salariés. Il ne reste plus qu’à choisir entre un bail de colocation commun ou individuel. Pour les propriétaires comme pour les colocataires, la seconde alternative semble être la meilleure. Une meilleure gestion de la colocation Dans un bail de colocation individuel, le propriétaire attribue lui-même chaque chambre. Ce n’est donc pas le colocataire principal, ou celui qui est arrivé en premier, qui décide. Cela facilite l’accès au logement Paris pour les locataires. Ce type de contrat séduit les particuliers. Ainsi, les propriétaires limitent les risques de carence locative. Dans ce genre de contrat, les chambres sont attribuées nominativement à celui qui présente le meilleur profil. Il faudra ainsi présenter de nombreux justificatifs aux propriétaires des lieux pour le convaincre. Ce dernier profite d’une meilleure gestion de son appartement ou de sa maison. On évite les conflits générationnels pendant la location appartement à Paris. On peut par exemple compenser l’extranéité d’un jeune de 20 ans, avec la maturité d’un colocataire d’une trentaine d’années. De moindres risques pour son bien en location La mise en location appartement Paris ou la sous-location Paris présente toujours des risques de destruction. En effet, si les colocataires n’arrivent pas à bien gérer l’accès aux parties communes, cela peut être néfaste pour la totalité des espaces habitables. Avec un bail individuel, la question ne se pose pas. Chaque contrat doit mentionner les droits et les obligations des colocataires dans l’utilisation et l’entretien des parties communs pendant la location studio Paris. On compte bien évidemment dans le lot la salle de bain, la cuisine, le salon et la salle à manger ainsi que les autres pièces à vivre. Attention néanmoins, un propriétaire ne pourra proposer un bail individuel pour chaque colocataire à moins d’avoir l’espace requis dans son appartement ou maison. Le bien doit faire au moins 14 m² et avoir un volume minimum de 33 m3. Moins de risque d’impayés Dans le cas d’un bail de colocation individuelle, les propriétaires ont moins de risque de faire face à des impayés de loyer. Chaque colocataire s’engage uniquement sur le règlement de sa part. Ce qui est aussi une aubaine pour chacun des colocataires. On ne risque pas du jour au lendemain de devoir payer la totalité des charges de la location studio. Le propriétaire ne pourra se retourner que vers celui qui ne respecte pas ses échéanciers. À l’instar de la résiliation d’un bail classique, celle du bail de colocation individuelle impose le retour des garanties et des cautions déposées par le colocataire qui s’en va. Cela n’affectera en rien les cautions que vous avez déposées lorsque vous vous êtes inscrit pour la colocation.

Les 7 règles pour trouver le colocataire idéal

Les 7 règles pour trouver le colocataire idéal Trouver un logement dans une ville comme Paris n’est pas chose aisée. Non seulement l’offre est bien en dessous de la demande, mais les loyers ne sont pas donnés dans cette partie du globe. La colocation est la seule solution envisageable pour les étudiants qui habitent Paris. En effet, occuper seul un appartement est trop coûteux, surtout pour des personnes encore à la recherche de travail. Partager un appartement ou un studio avec deux ou trois autres personnes réduit considérablement les charges à supporter. Néanmoins, des altercations peuvent survenir à la suite de cette cohabitation. Si trouver un logement se révèle difficile, trouver le colocataire idéal l’est encore plus. Voici donc les 7 règles pour trouver le colocataire idéal. 1.Petites annonces ou bouche-à-oreille Les petites annonces pour faire une offre de colocation est le moyen le plus rapide de trouver un colocataire. Lors de son établissement, n’hésitez pas à fournir le plus de précisions possible sur les conditions de cohabitation. Ce qui vous permettra à ce premier stade de faire le tri des candidats. Trouver des colocataires par le biais de connaissance se révèle être aussi un bon choix. L’ami d’un ami vaut largement mieux qu’un parfait inconnu. 2.Établissez le profil du coloc idéal pour vous En établissant ce profil, vous pouvez d’ores et déjà savoir sur quel critère vous allez devoir faire des concessions et sur quel autre rester exigeant. Vous recherchez par exemple un non-fumeur, mais vous pourrez facilement accepter un fumeur si ce dernier consent à ne pas fumer dans les espaces communs. Ou pourquoi ne pas accepter une personne avec un chat si elle accepte de la garder dans sa chambre ? 3.Tissez un lien avant l’accord final Prenez le temps de connaître votre prochain colocataire avant de conclure la colocation. C’est une occasion de cerner sa personnalité et de connaître certains aspects de votre cohabitation. Passer une soirée ou une petite sortie ensemble peut faire l’affaire. 4.Faites-lui savoir les règles Ne confiez rien au hasard, il faut lui faire part des responsabilités qu’il aura à sa charge, comme les tâches ménagères, les différentes charges inhérentes aux dépenses : l'eau, l’électricité, le gaz, etc. Les soirées arrosées sont-elles permises ? À quelle fréquence ? Anticipez les problèmes pour mieux vous prémunir. 5.L’âge est très important Pour que deux personnes puissent s’entendre, il faudrait qu’elles soient sur la même longueur d’onde. C’est pourquoi la tranche d’âge est importante. Deux étudiants dans la vingtaine auront plus d’intérêts en communs et pourront se soutenir mutuellement en cas de problème, sans qu’il y ait choc de générations. 6.Votre colocataire est-il solvable ? C’est un point essentiel pour pouvoir vivre sa colocation en toute sérénité. Vous n’avez pas à connaître l’état financier de votre colocataire, mais vous êtes en devoir de savoir que ce dernier a les moyens de s’acquitter de ses charges. 7.Une connaissance ou un membre de la famille Même si la personne possède tous les critères que vous exigez, n’oubliez pas de lui demander de vous fournir le contact d’une connaissance en commun ou d’un membre de sa famille que vous pourrez contacter en cas de besoin.